الجمعة، 1 مارس 2013

Darfour: la guerre de ressources naturelles et des combats tribaux pour contrôler d'or

Toute a commencé lorsque trois hommes armés jusqu’aux dents,  les têtes enveloppaient de  turbans, les visages masquaient, ils se tenaient debout devant un homme à peau sombre, l’air fatigué,  le visage maculait de poussières, de sueur .Désespérément, il creusait la terre à coups de houe.
 Qu’es ce que tu fais ici ? demandaient-ils. D’un ton menaçant.
 Je suis ici à la recherche d’or.
 Mais Qui t’autorisait d’exploiter d’or ici ? ajoutaient-ils
En brandissant un papier : C’est le propriétaire  de la terre.
Ne connait tu pas que cette terre appartienne à Beni Hussien et que tu es Abala ?
Non la terre à nous tous.
Fermer ta bouche ? Renifler le sol et l’odeur se sent comment ?
Je ne sais pas, (énervement) répliquait-il.
Brusquement, Les trois hommes l’attaquaient sauvagement à coups de crosses, à coups de bâtons, couteaux  et le tuaient de sang-froid, aussi bien que les six Abalas qui sont venus au secours de leurs frère étaient abattus sur place, à ce moment-là, Les téléphones portables faisaient leurs travails et les nouvelles d’assassinats éparpillaient  dans tout coins du Darfour.
Par suit, L’Abalas ne tardaient  gère à se mobiliser leurs militants qu’ils répondu massivement à bord de véhicules, à dos de chameaux, de cheveux, même à pieds  pour arriver à  Jabel Amir[i]. D’où Les affrontements  interethniques déclenchaient. D’une côté le clan Arabe  Beni Hussein ; sédentaires et se consacre à l'élevage de troupeaux réside à la ville Siref au nord du Darfour  et réclamait la possession de la terre de Djebel Amir. D’une autre côté le clan arabe Abala ; nomadique, bergers  des chameaux réclamait le droit d’exploit d’or dans la zone de Jebel Amir.
L’affrontement entre les deux tribus sœurs fait un bilan très lourds, cents morts  selon UNAMID[ii]  mais selon les belligérants le chiffre très inquiétante ; plus de mille  personnes ont été tués, dizaines de blessés, une cinquantaine de villages brulé, des milliers de têtes de bétail pillés, des terres agricoles détruites .en plus, les autres tribus vivant alentours  de la zone des opérations ne sont pas échappés à la violence, l’exaction et la brutalité des agresseurs .
En conséquence des affrontements sanglants, les milliers d’autochtones y compris femmes et enfants étaient forcés d’abandonner leurs domiciles pour se déplacer vers les grandes villes ou franchir les frontières à pied, sur dos d’ânes pour s’abriter aux camps de réfugiés au Tchad. Cette fuite massive de la population a laissé une situation humanitaire dramatique provoquait  par manque d’eau potable, de la nourriture, des médicaments, des couvertures...etc. 
La zone contestée de Jebel-amir est un plateau montagneux très riche d’or était découvert par hasard  par les chercheurs locaux, rapidement devient réputé, et fréquenté  par milliers des chômeurs espérant d’une richesse très rapide, jour à jour le nombre de mineurs traditionnels dépassait le seuil de soixante mille personnes, venant de toute la région y compris les étrangers. Utilisaient des instruments très traditionnels : des machettes, des pelles, d’ houes pour creuser des trous de  quarante mètres de profondeur d’où  les aventureux pouvaient ramasser quelques grammes d’or, certains entre eux trouvaient la mort au fond de ces  puits!
Certainement, la sécession du sud soudan provoquait le départ d’une  source importante de la revenue pétrolière qui représentait 70 pourcents du budget, la chose qui a poussé les autorités soudanaise à chercher d’autres sources financières pour éviter du déficit budgétaire, alors ils ont encouragé ce qu’on appelle (l’exploitation civile aléatoire) qui est très vite éparpillait dans tout le pays dont la riche région du Darfour. Malheureusement, la stratégie  recherche aléatoire appliquée dans les zones isolées dont le pouvoir d’état n’existe pas, et accessibles aux bandes et des groupes clandestins derrières d’insécurité permanent qui menace  tout les processus des recherches.
Enfin, Les affrontements sanglants de jebel amer venaient dans le cadre de compétition fiévreuse entre les tribus pour contrôler la terre, riche  de ressources naturelles dont l’or .malheureusement, les efforts réconciliations entamaient par les autorités locales ne portaient aucun fruit aussi bien que, l’échec d’incitatives des chefs d’administration civiles  pour désamorcer la crise. Car tous  ces processus ne s’attaquaient pas les causes racines de la crise : comme, trouver une solution globale au problème politique avec toutes les parties au conflit, règlement les problèmes de possession de la terre, établir  la sécurité durable, achever les réconciliations interethniques, retour volontaire des refuges et les déplacés à leurs terres d’origine  et mettre fin à l’impunité, c’est ainsi qu’on peut contribuer à résoudre le conflit mais  pas par traitement  les effets du conflit.         
 


[i] Un massif montagneux riche d’or situé au Nord Darfour
[ii] Mission Des Nation Unies et Union Africaine au Darfour