Le peuple du soudanais attend impatiemment la surprise
que le président El-Bachir veut
faire dans les jours qui viennent,
personnes ne sais pas la nature de changement que El-Bachir tend à apporter dans la cabine du commandement du régime au pouvoir depuis 25 ans, il y a quelques semaines que le président soudanais
avait écarté son vice-président Ali Ousmane Taha l’homme fort du régime
islamiste de Khartoum, certes son départ inattendu avait provoqué vifs un
débat au sien de la vie politique aussi
bien que sur les réseaux sociaux entre
l’optimistes qui pensent que le départ de Taha et son coterie est une étape
vers un changement réel, par ailleurs les pessimistes jugent qu’un
changement dans ce régime est impossible.
pour le régime de départ de Taha a survenu dans le cadre de la nouvelle politique de la partie
au pouvoir PCN pour céder les places pour les jeunes, ouvrir un dialogue avec l’opposition,
l’écrire d’une nouvelle constitution et préparer pour l’élection de 2015 néanmoins,
l’analystes estimaient que le limogeage de Taha était un nouvel coup d’état
contre le projet de les frères musulmans
au Soudan.
Pourtant, pour le président du parlement Soudan Elfateh
Izedin affirmait que les situations intérieures pressantes dans le pays ont
poussé le président El-Bachir de déclarer ce paquet de réformes qui conduisaient
à l’exclusion de premier rang d’islamistes y compris le premier vice-président
Taha et cette décision visait à dépasser la suffocation dans l’arène politique
qui pourrait avoir des effets négatifs sur l’état et ses relations régionales
et internationales.
Le 24 janvier 2014, Dans une interview donnée au journal Elyom-Eltali l’ex-général d’armé
Soudanais wad-ibrahim, un islamiste accusé d’avoir orchestré la tentative de
coup d’état manqué et gracié par le président El-bachir le septembre dernier révélait
qu’il y a un grand changement se formait
dans la région, en l’Egypte comme le Libye , en la Tunisie et
autres, donc le régime sous une forte pression il faut
être flexible et prêt pour une transition
du pouvoir par l’élection.
La semaine dernière le président El-Bachir
confiait à Jimmy carter l’x-président qu’il cache une bonne surprise pour le peuple
du soudan mais sans expliquait le
contenu de la surprise. En vrai dire, la plupart des soudanais pensent que tout changement ne comprend pas le départ
du président ne peut pas faire la surprise, les soudans fatiguaient des
discours creux et les mensonges du régime depuis 1989.
Finalement, il faut avouer le Soudan
n’a rien gagné sous le régime de confrérie musulmane qui ont violé le pouvoir
par un putsch militaire il a vingt- cinq ans durant cette période noire de l’histoire
du Soudan marquait par la déclaration de
la guerre confessionnelle conduisait à la division du pays, la politique d’empowerment
en faveur d’islamistes dans le service civil affaibli la fonction publique
et finit par la fuite massive des cerveaux soudanais, le népotisme et la
corruption poussait l’économie vers l’abîme et les erreurs politiques brûlaient le Darfour. Voilà
le bilan des 25 ans l’islamisation du pouvoir, maintenant quelle surprise que El-Bachir
cache pour son peuple ?