Fatima
est une fillette à l’âge de 8 ans accompagné par sa petite sœur de trois ans , les visages pâles ,
maculés de la poussière ,
l’air fatigués ,elles fréquentent chaque jour les marchés pour trouver
leur place dans la foule des
vendeurs et acheteurs , dans les passages, dans les ruelles, devant les boutiques ,au coin des
magasins et dans les cafés où les gens se retrouvent pour bavarder , Fatima chaque fois qu’elle
aperçoit une personne, elle tend une petite manuscrite on peut lire ‘ je suis une orpheline , perdu mon père pendant
la maudite guerre de Darfour, aidez mois que le grand Dieu te bénisse’ .
c’est un seul exemple d’enfant mendiant face
aux plusieurs cas des malheur que nous envisageons quotidiennement dans
différentes villes de Darfour.
A El-fasher
la capitale de la région Nord Darfour où plusieurs organisations humanitaires
opèrent au profit de déplacés, résidant dans
les misérables camps de IDPS, horrifiés,
paniqués, entassé dans les petits foyers comme sardine dans une boite depuis
l’éclatement de la guerre au Darfour entre la rébellion et le gouvernement
central en 2003.
Chaque
matin, des milliers des enfants envahissent la ville à la recherche de boulons,
lourdement chargés des matériaux de travail ; des sacs plastiques bourrés
des bouteilles de boissons vides, des brouettes chargées d’ordures et des
caisses de laque sur épaules en quête d’un client désire briller son souliers, ses bottes ; qui
sait ? Peut-être entre ces bottes
se trouve celles appartiennent aux mêmes milices meurtrières à l’ origine de mépris et déplacement forcé
de ces enfants.
Le départ forcé des organisations humanitaires sur
demande des autorités soudanaises, à la
suite de lancement de mandat d’arrêt contre le président Bashir accusé de
crimes de guerre commis au Darfour alors le gouvernement accusait l’ONGs d’avoir
mené des activités clandestines au sein de déplacés et diffamations,
dissémination des fausses informations sur la situation de Darfour. Certes, Le
départ forcé de organisations internationales de la région laissaient un vide
immense qu’il sera difficile à combler, en terme de fournissons des
services de bases a la communauté de déplacés ; les eaux potable, la santé,
l’hygiène, la nourrissions, édification
d’établissements scolaires, cahiers,
livres, ardoises...Etc. Bien que les multiples organisations locales, dont
leurs panneaux étouffaient les rues, la situation des enfants reste inchangeable
et vulnérable.
En plus, L’Exclusion imprévue des organes
humanitaires a provoqué des effets catastrophiques sur la condition de vie des
enfants habitants dans les camps de déplacés ; en laissant leurs classes pour mendier auprès des marchés quête nourritures. Siffler
de la colle, dormir dans les vérandas, errer nuit et jour dans les rues où qu’ils risquent d’accidents
routiers mortels, arracher de portefeuilles
des acheteurs, enlever des de téléphones portables …Etc.
En fin, la négligence des enfants de Darfour soit
par faute des moyens où manque de volonté est un tort énorme, car ces enfants représentent
la future génération d’un peuple,
permis eux se trouve le future savants,
économistes, médecins, ingénieurs, homme d’affaires, et experts, un jour qu’ils
prendront le relais de ce monde. Cependant,
éthiquement, nous avons une responsabilité collective envers ces enfants pour les sauver, et
assurer leur future. Il est grand temps d’agir en faveur des enfants de
Darfour.
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