A l’heure où j’écris ces lignes le président de transition
centre africain Michel Djotodia, a
démissionné pour donner une
chance pour la réussite de l’initiative de la paix, sous l’égide de par la CEEAC, la Communauté d’Etats d'Afrique centrale, cette démissionnions
est très rare dans la culture de la politique africaine, mérite d’être
salué, c’est une bonne étape vers une réconciliation pacifique entre les
belligérants mettant fin à une année de cauchemar. J’écris ces lignes en
partant du proverbe africain, quand la case de votre voisin
brûle, la flamme peut atteindre la vôtre.», mon
inquiétude que cette le feu peut
attendre la région limitrophe du Darfour déjà en flamme depuis une décennie,
sans aucune perspective de une paix durable
dans l’horizon. Les reports provenant de RCA les mercenaires soudanais
et tchadiennes à l’issue la
déstabilisation de ce pays gagnerons leurs bases arrières au Darfour, là le contrôle
d’état pas omniprésent, cela nous complique les choses, car une
possibilité de tension de la situation est inévitable.
En appuyant sur mon
expérience requise du conflit de Darfour, je crois le problème de la République Centre Afrique est très compliqué même plus ramifié que de celui de
Darfour, car ce dernier est problème
politique par excellence. Pourtant, le problème de la République Centre Afrique
est un problème politique, religieux, ethnique, xénophobie et agendas extérieures,
tous ces facteurs se mêlaient pour façonner
l’actuel amalgame politique dans ce pays.
Le plus dangereux parmi
ces facteurs, implication de la religion dans cette affaire par les politiciens
pour atteindre à leurs motivations plus vite possible , mais l’utilisation de carte religieuse
pourrait avoir les effets catastrophiques en longe terme, il nous suffit de
jeter un coup d’œil dans
le monde d’aujourd’hui pour savoir comment la manipulation de la religion contribuait à la déstabilisation, en citant
par exemple, Boko Haram en Nigeria, les djihadistes en Mali, la, LRA de Uganda
et confrérie musulmane en Egypte aussi bien que en Syrie comment la guerre entre l’islam chiite et
Sunna contribue à la complication la
scène du conflit en Syrie, ils très
important pour le peuple des
déjouer toute tentative par les
politiciens d’engager la religion dans
le problème politique du pays.
De plus, un autre facteur va poser beaucoup d’ennuis,
c’est le nombre augmentant des immigrés
vivant dans ce pays depuis très long surtout les Arabes Salamat et Falata ,ont vécus
dans ce pays depuis 50 ans, une génération entière nait, éduquait et
cultivait et identifiait comme Centre –Africaine et
cherche d’intégration, de jouer un rôle politique dans son pays . Toutefois, considérée par les indigènes comme les
étrangers qu’il faudra quitter le sol du pays immédiatement et regagner leur
pays d’origine.
En fait, un retour à la normale la vie politique, social
en ce pays est très important avant que la situation deviendra hors de
contrôle, en gardant à l’esprit que ce conflit Vien de surgir RCA facilement peut toucher ses voisinages. Car nous parlons d’une
région déjà affecté le syndrome de déstabilisation, comme au Soudan, Sud-soudan, République Démocratique
du Congo et Uganda.
finalement, le départ du
président Michel Djotodia ne suffit pas pour dire que la paix définitive est revenu en Centre Afrique, sa résignation est
une première étape vers la désamorcèrent
de la crise, encore il reste beaucoup à faire, déraciner le fanatisme religieux
provenant de la manipulation de la religion pour faire les intérêts politiques, sinon on parlera demain la
naissance d’un autre Boko Haram ou LRA dans ce pays si fragile, aussi bien que
le règlement des situations d’immigrés, réinsertion et démobilisation des
ex-combattants et le départ des forces étrangères.
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