الجمعة، 17 يناير 2014

La République de Centre Afrique ; Le danger d'une confessionnalisation d'un conflit

A l’heure où j’écris ces lignes le président de transition centre africain Michel Djotodia,  a démissionné pour donner une chance pour la réussite de l’initiative de la paix, sous l’égide de  par la CEEAC, la Communauté d’Etats d'Afrique centrale, cette démissionnions  est très rare dans la culture de la politique africaine, mérite d’être salué, c’est une bonne étape vers une réconciliation pacifique entre les belligérants mettant fin à une année de cauchemar. J’écris ces lignes en partant du proverbe africain, quand la case de votre voisin brûle, la flamme peut atteindre la vôtre.», mon inquiétude que cette le feu  peut attendre la région limitrophe du Darfour  déjà en flamme depuis une décennie, sans aucune perspective de une paix durable  dans l’horizon. Les reports provenant de RCA les mercenaires soudanais et tchadiennes à l’issue  la déstabilisation de ce pays gagnerons leurs bases arrières au Darfour, là le contrôle d’état pas omniprésent, cela nous complique les choses, car une possibilité de tension de la situation est inévitable.    
En appuyant sur mon expérience requise du conflit de Darfour, je crois le problème de la République  Centre Afrique est très  compliqué même plus ramifié que de celui de Darfour, car ce dernier  est problème politique par excellence. Pourtant, le problème de la République Centre Afrique est un problème politique, religieux, ethnique, xénophobie et agendas extérieures, tous ces facteurs se mêlaient  pour façonner l’actuel amalgame politique dans ce pays.  
Le plus dangereux parmi ces facteurs, implication de la religion dans cette affaire par les politiciens pour atteindre à leurs motivations plus vite possible  , mais l’utilisation de carte religieuse pourrait avoir les effets catastrophiques en longe terme, il nous suffit de jeter un coup d’œil dans le monde d’aujourd’hui pour savoir comment la manipulation  de la religion  contribuait à la déstabilisation, en citant par exemple, Boko Haram en Nigeria, les djihadistes en Mali, la, LRA de Uganda et confrérie musulmane en Egypte aussi bien que en Syrie  comment la guerre entre l’islam chiite et Sunna  contribue à la complication la scène du conflit en Syrie, ils très   important pour  le peuple des déjouer  toute tentative par les politiciens  d’engager la religion dans le problème politique du pays.
De plus, un autre facteur va poser beaucoup d’ennuis, c’est le nombre augmentant  des immigrés vivant dans ce pays depuis très long surtout les Arabes Salamat  et Falata ,ont  vécus  dans ce pays depuis 50 ans, une génération entière nait,  éduquait et  cultivait  et identifiait comme Centre –Africaine et cherche d’intégration, de jouer un rôle politique dans son pays . Toutefois,  considérée par les indigènes comme les étrangers qu’il faudra quitter le sol du pays immédiatement et regagner leur pays d’origine.
En fait, un  retour à la normale la vie politique, social en ce pays est très important avant que la situation deviendra hors de contrôle, en gardant à l’esprit que ce conflit Vien de surgir RCA  facilement peut  toucher ses voisinages. Car nous parlons d’une région déjà affecté le syndrome de déstabilisation, comme  au Soudan, Sud-soudan, République Démocratique du Congo et Uganda.
finalement, le départ du président Michel Djotodia ne suffit pas pour dire que la paix définitive est   revenu en Centre Afrique, sa résignation est une première étape  vers la désamorcèrent de la crise, encore il reste beaucoup à faire, déraciner le fanatisme religieux provenant de la manipulation de la religion  pour  faire les intérêts  politiques, sinon on parlera demain la naissance d’un autre Boko Haram ou LRA dans ce pays si fragile, aussi bien que le règlement des situations d’immigrés, réinsertion et démobilisation des ex-combattants et le départ des forces étrangères.             

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