الجمعة، 25 يوليو 2014

Darfour une fois de plus

 14 juillet 2014, il y a trois depuis la signature d’accord de paix de Doha   entre le gouvernement soudanais et d’un part et le mouvement de la libération et la justice d’autre part sous l’égide du Qatar , cet accord visé à mettre fin désescalades entre les groupes rebelles réclame la partage équitable de la richesse et le pouvoir, et un gouvernement central,  d’un conflit duré plus de dix ans avec conséquence humanitaire très lourds marqué par exode massif des citoyens , comme le cas des réfugiées  au Tchad ou déplacés dans les grandes villes du Darfour.
Immédiatement, après la signature de compromis de la paix les autorités soudanaises aussi bien que le mouvement de la libération et la justice (LJM) débutaient l’implémentation de document de Doha pour la paix aux Darfour(DDOC), comptant  cinq dossiers dont le retour volontaire des déplacés, les arrangements sécuritaires et la justice et réconciliations. Mais depuis sa création l’autorité régionale pour Darfour(DRA) ne pas réussi  à placer l’accord du Doha  sur terre, même l’appui Financial vigoureux par aussi bien que le soutien politique venant du part de la communié internationale.
En plus, chaque jour l’accord de Doha perdent son prestige aux yeux des peuples du Darfour, les intellectuels comme  déplacés criquetaient le chef DRA Dr ,Tijni sessi n’a rien fait que les fausses paroles, en certain cas   ces critiques traduits  par des actes de violence lors de la  visite de chef de DAR à Zalinga sa ville natale  l’année passée,  dont les déplacés outrés saccageaient son convoi où avec la justesse qu’il a sauvé sa peau.  
 L’accord de paix au lieu d’être un message de la quiétude et devinait un atout  d’inquiétude, les affrontements armés entre les groupes rebelles se sont intensifiés, les attaques des milices armées se poursuivaient, les bandes de crimes organisés gagnent le terrain dans les grandes villes  même le casques bleus ne sont pas au abri de la violence mortelle. 
En effet, l’autorité régionale du Darfour échouait à respecter ses obligations envers le peuple du Darfour, échouait à restaurer la sécurité, échouait de construire les infrastructures nécessaires pour la répartition des refugiés et les déplacés, échouait à promouvoir l’unité et la réconciliation entre la couche sociale du Darfour. En vrai dire, nous pouvons compter sur les moyens du Qatar pour le rétablissement de la paix au Darfour  mais il est inutile attendre que le DAR nous ramène la calme dans la région.              
 

 

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