14 juillet 2014, il y a trois depuis la
signature d’accord de paix de Doha
entre le gouvernement soudanais et d’un part et le mouvement de la
libération et la justice d’autre part sous l’égide du Qatar , cet accord visé à
mettre fin désescalades entre les groupes rebelles réclame la partage équitable
de la richesse et le pouvoir, et un gouvernement central, d’un conflit duré plus de dix ans avec
conséquence humanitaire très lourds marqué par exode massif des citoyens ,
comme le cas des réfugiées au Tchad ou
déplacés dans les grandes villes du Darfour.
Immédiatement, après la signature
de compromis de la paix les autorités soudanaises aussi bien que le mouvement
de la libération et la justice (LJM) débutaient l’implémentation de document de
Doha pour la paix aux Darfour(DDOC), comptant
cinq dossiers dont le retour volontaire des déplacés, les arrangements
sécuritaires et la justice et réconciliations. Mais depuis sa création
l’autorité régionale pour Darfour(DRA) ne pas réussi à placer l’accord du Doha sur terre, même l’appui Financial vigoureux
par aussi bien que le soutien politique venant du part de la communié
internationale.
En plus, chaque jour l’accord de
Doha perdent son prestige aux yeux des peuples du Darfour, les intellectuels
comme déplacés criquetaient le chef DRA
Dr ,Tijni sessi n’a rien fait que les fausses paroles, en certain
cas ces critiques traduits par des actes de violence lors de la visite de chef de DAR à Zalinga sa ville
natale l’année passée, dont les déplacés outrés saccageaient son convoi
où avec la justesse qu’il a sauvé sa peau.
L’accord de paix au lieu d’être un message de
la quiétude et devinait un atout d’inquiétude,
les affrontements armés entre les groupes rebelles se sont intensifiés, les attaques des milices armées
se poursuivaient, les bandes de crimes organisés gagnent le terrain dans les
grandes villes même le casques bleus ne
sont pas au abri de la violence mortelle.
En effet, l’autorité régionale du
Darfour échouait à respecter ses obligations envers le peuple du Darfour,
échouait à restaurer la sécurité, échouait de construire les infrastructures
nécessaires pour la répartition des refugiés et les déplacés, échouait à
promouvoir l’unité et la réconciliation entre la couche sociale du Darfour. En
vrai dire, nous pouvons compter sur les moyens du Qatar pour le rétablissement
de la paix au Darfour mais il est
inutile attendre que le DAR nous ramène la calme dans la région.
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